Le lendemain du débarquement, les autorités allemandes arrêtent plusieurs personnalités du département :
- Georges Woillez, directeur de la Caisse d'allocations familiales de l'Oise et responsable départemental du Secours national, 

- Jacques Pradines, de Compiègne, employé à la Direction départementale du ravitaillement, 

- Louis Fauroux, professeur de lettres au collège de garçons de Beauvais,

- Charbonnier, vétérinaire,

- Gaston Bedaux, ingénieur des Ponts-et-Chaussées,

- Dufour, contrôleur du service départemental des gardes des voies ferrées,

- Lacombe, chef de bureau de renseignements à la préfecture, 

Des maires de plusieurs communes sont aussi arrêtés : 

- Fernand Delarue (Bresles), 

- Jean Lerouge (Carlepont), 

- Henri Pauquet (La-Neuville-en-Hez), 

- Etienne Audibert (Senlis),

- Charles Desgroux ( Beauvais),

- Fernand Fournier (Montataire)

et l'ancien sénateur Alphonse Warusfel.

Bedaux est libéré le 14 juin, Charbonnier et Fauroux le 8 juillet.

Tous les maires arrêtés sont déportés par la suite.