Militaires allemands

Militaires allemands


BERGER Hermann

Adjudant de l'unité 62 852

par Jean-Yves Bonnard

Il conduit une automobile lors des représailles allemandes faites par l'unité 62 852 le 11 août 1944 à Noailles consécutives à la mort d'un soldat.


BIALOWONS Otto Paul

Chef du SD de Creil / Beauvais

par Jean-Yves Bonnard


Fils de Michael Biolawons et de Charlotte Totzec, il est né le 9 mars 1910 à Ebendorf. Membre de la SS (n°257 618) et du parti National Socialiste (n°3 601 302) il est promu SS-Untersturmführer (Ustuf) le 30 janvier 1941. Commandant la police de sûreté et les services de sécurité (SicherheitsPolizei,Sipo-SD) dans l’Oise dépendant de Saint-Quentin, il s’installe à Beauvais puis à Creil en juillet 1942 (21-23 rue Henri Pauquet est le siège de la Gestapo) avant de revenir à Beauvais. Il commande un effectif réduit de 7 hommes à Beauvais, le double à Creil, tous issus de la SS. Il parvient, à l’aide d’informateurs achetés et d’interprètes, à démanteler plusieurs réseaux dont le Bataillon de France, le groupe creillois de Libé-Nord…

Il est arrêté en mai 1945 par les forces britanniques en Norvège. Il est condamné le 22 février 1950 par le Tribunal de Metz à sept ans de travaux forcés et à vingt ans d'interdction de séjour en France pour avoir fait subir des sévices graves à des résistants.


BURKARD
Major
par Jean-Yves Bonnard

Médecin dans l'armée allemande, il est affecté au camp de Royallieu à Compiègne du 24 août 1943 au 28 août 1944.

DASER Wilhelm

Commandant de la Fledkommdantur 580

par Marc Pilot


Né en 1884, il dirige la Feldkommandantur 580 d’Amiens-Beauvais du 1er août au 2 décembre 1942. Militaire depuis 1903, il  fait une belle carrière, quittant l’armée en 1931 avec le grade de colonel (Oberstleutnant). Il reprend le service actif en 1939 et fut promu général (Generalmajor) en 1942. A la suite de cela il est affecté à différentes Feldkommandanturen (Amiens, Marseille, Lille) avant de retrouver un commandement début 1944. Generalleutnant, il est à la tête de la 70. Infanterie Division sur l’île de Walcheren lorsqu’il se rend sans condition le 6 novembre 1944. Sa reddition est filmée et diffusée aux actualités. Il est interné jusqu’en décembre 1949. Il décède en 1968.


Nouveau paragraphe

DIETRICH Ernest

capitaine de la Schutspolizei

par Jean-Yves Bonnard


Il est le chef convoyeur responsable du train de déportés n°7909 quittant Compiègne à destination de Dachau le 2 juillet 1944, dénommé "le train de la mort" en raison du grand nombre de détenus morts durant le voyage. Selon les témoignages, lors de sa prise de commandement du convoi à Novéant, on dénombre déjà 450 morts sur 2200 détenus. Le capitaine de police  fait "jeter de la chaux sur les corps des wagons  à cadavres sans faire vérifier si tous étaient morts". A Sarrebourg, il refuse aux délégués de la Croix-Rouge française de ravitailler les déportés en disant "Qu'importe, ils crèveront quand même".

Lors de son procès devant le tribunal de Metz présidé par le conseiller Rosembert, le 23 février 1950,il est défendu par Me Barthel, avocat du barreau de Metz et Me Rohmer, de Bad-Kreuznach. L'accusation est soutenue par le commandant Hennequin.

Il se défend en niant les faits ou en reportant la responsabilité sur sa hiérarchie. Il est condamné à la peine de mort.


Sources

Le Républicain Lorrain du 24 février 1950.



DOSTLER Joseph
Lieutenant-colonel
par Jean-Yves Bonnard

Né en 1884, lieutenant-colonel commandant la formation allemande du Coudray-sur-Thelle en août 1944,  il est tenu responsable de l'exécution du jeune Alexandre Perrotte arrêté et fusillé à la suite de la découverte dans la ville du cadavre d'un soldat allemand abattu par la Résistance le 11 août 1944.  Deux jours plus tard, le 13 août, au cours d'une descente à Noailles au cours de laquelle le résistant Meunier lance une grenade et tue un soldat allemand avant d'être tué, il fait incendier huit immeubles de Noailles par représailles en versant lui-même des bidons d'essence qu'embraseront des jets de grenades.
Jugé par contumace par le Tribunal militaire de Metz en février 1951, il est condamné à la peine de mort.

FISCHER
soldat allemand
par Jean-Yves Bonnard

Militaire allemand considéré comme l'organisateur de chasse aux travailleurs dans les rues de Beauvais pour le terrain d'aviation de Beauvais-Tillé. Le 29 août 1944, veille de l'arrivée des Aliés, il tente de gagner la Belgique en voiture mais celle-ci tombe en panne à Crèvecoeur-le-Grand. Il es capturé par les britanniques et ramené à Beauvais pour être jugé comme criminel de guerre. Sa maitresse, Madeleine Bailly, sera condamné par la Cour de justice en 1945.

FORTWANGLER Christian
Médecin
par Jean-Yves Bonnard

Médecin autrichien dans l'armée allemande, orthographié aussi Furtwaengler, il est affecté au camp de Royallieu à Compiègne du 21 juin 1941 au 23 août 1943

GARLING Hans
commandant de l'unité 62 852

par Jean-Yves Bonnard


Sa troupe et lui-même sont cantonnés à Noailles les 11 et 13 août 1944. Il participe à la rafle de Noailles.


GREIF
chef de la Gestapo
par Jean-Yves Bonnard

Chef de la Gestapo, il procède à certains interrogatoires dans les locaux de la kommandantur de Compiègne.

HAUG Karl
Hauptscharführer


Sous-officier SS, il est impliqué dans l'exécution de Parisis-Fontaine (Noailles/Berthecourt) le 9 août 1944 au cours de laquelle cinq SAS britanniques sont tués. Recherché après-guerre, il sera condamné.


HELMES Peter

Sergent au Camp de Royallieu

par Jean-Yves Bonnard


Né en 1914, surnommé "fil de fer" par les détenus, est sergent (feldwebel) à Royallieu. Il est jugé en février 1950 par le Tribunal de Metz pour violence contre les internés.



 HERMANN
Sous-chef de la Gestapo
par Jean-Yves Bonnard

Il est cité par André Poirmeur comme un meneur d'interrogatoires dans les locaux de la kommandantur de Compiègne.

JAGER Erich

Sous-officier

par Jean-Yves Bonnard


On note aussi Jaeger Fritz. Surnommé L'homme aux chiens, trépanné sur le front de l'Est, ce sous-officier SS surveille le camp de Royallieu avec ses molosses Klodo et Prado.  Selon André Poirmeur, il "s'enivrait plus que de coutume avat de désigner les otages à fusiller". Il est poursuivi par le tribunal de Metz en février 1950 pour assassinat de quatre Corse ayant tenté de s'évader.


Sources:

Poirmeur André, Compiègne 1939-1945, Telliez, 1968.


KEHRENBERG
Capitaine
par Jean-Yves Bonnard

Capitaine dans l'armée allemande stationné à Compiègne en janvier 1944, il dépend de la Feldkommandantur 638.

KETELBRON Fritz
Sous-officier au Camp de Royallieu
par Jean-Yves Bonnard

Sous-chef (sonderführer) particulièrement actif, il est poursuivi par le tribunal de Metz en février 1950 pour complicité.

KIEFFER Hans

Commandant


Membre du SD, il  est impliqué dans l'exécution de cinq SAS britanniques à Paris-Fontaine (Noailles/Berthecourt) le 9 août 1944. Il sera recherché et condamné après-guerre.


KLEIN Heinz Hermann

SD de Creil

par Jean-Yves Bonnard


Né le 12 juillet 1912 à Leipzig, membre de la Gestapo de Beauvais-Saint-Quentin, il est condamné par le tribunal de Metz à 5 ans d’emprisonnement et 6000 francs d'amende en février 1950.

On le note interprète de la prison de Compiègne, à Bruns et à la felgendarmerie de Grandville.


Sources

Dépôt central des archives de la justice militaire, Le Blanc. Procès verbal d'Heinz Klein, du 19 janvier 1950, procédure contre les membres de la Sipo-SD de Beauvais-Creil


KNOCHEN Helmut

Commandant


Membre du SD, il est impliqué dans l'exécution de cinq SAS britanniques à Paris-Fontaine (Noailles/Berthecourt) le 9 août 1944. Il sera recherché et condamné après-guerre.


KREBS Hans
Sous-officier au Camp de Royallieu
par Jean-Yves Bonnard

Sous-chef particulièrement actif (sonderfühhrer), il est poursuivi par le tribunal de Metz en février 1950.

KUNTZ
Sous-officier
par Jean-Yves Bonnard

Ancien garçon de café de Montparnasse, soldat dans l'armée allemande affecté au camp de Royallieu, il se distingue, selon André Poirmeur, par ses appels particulièrement longs sur le terre-plein de la place.

Sources:
Poirmeur André, Compiègne 1939-1945, Telliez, 1968.

LOHSE Oskar
Lieutenant-colonel
par Jean-Yves Bonnard

Lieutenant-colonel dans l'armée allemande, il est chef de la place de Compiègne de 1942 à 1943. André Poirmeur précise qu'il est aussi "commandant du camp de Royallieu, sexagénaire habitant Berlin, où il était à la tête d'une importante parfumerie".

Sources:
Poirmeur André, Compiègne 1939-1945, 1968.

MAYER
Lieutenant-colonel commandant la Feldkommandantur
par Jean-Yves Bonnard

Chef de la Kreiskommandantur 580 d’Amiens – Beauvais de mars 1941 à mars 1942.

MULLER Adolf

Capitaine au camp de Royallieu

par Jean-Yves Bonnard et Marc Pilot


Né en 1886 dans une famille d'agriculteurs aisés de Miesenbach (Palatinat), il obtient un doctorat de Droit et entame une brillante carrière de foncctionnaire dans différents ministères. Mobilisé pendant la Première Guerre mondiale, il est fait prisonnier. Il est avocat à la cour d'appel de Berlin avant-guerre. Capitaine de réserve (hauptmann), il  sert un temps au camp de Royallieu (Fontstalag 122) et se dit officier de justice militaire. En 1946, il joue un rôle politique important en Rhénanie-Palatinat avec l'approbation des autorités françaises d'occupation... Il préside après-guerre un tribunal de dénazification en Allemagne. 

Il est jugé au tribunal de Metz en février 1950. Le chef d'accusation se limite à une complicité de vols et de violences mais son rôle exact n'a pas pu être éterminé. Il ne semble d'ailleurs pas avoir été poussé dans ses derniers retranchements lors de ce procès. Müller affirme n'avoir été qu'un officier de justice militaire, sans aucun rôle de commandement. Il n'aurait rien fait d'autre qu'une étude sur les cuisines et les installations du camp. 

Le jury l'acquitte malgré un réquisitoire réclamant 5 ans de prison à son encontre.

Il décède en 1974.


Sources :

Wikipedia, Le Progrès de l'Oise du 1er mars 1950






MUNSCH
Interprète
par Jean-Yves Bonnard

Interprète allemand de la kommandantur en 1943, jugé à Metz en 1950, il affirme ne aps avoir été témoin de l'assassinat d'André Baduel dans les locaux de la kommandantur de Compiègne.

NACHTIGALL Johannes

Capitaine au camp de Royallieu

par Jean-Yves Bonnard


Prénommé Johannes ou Hans, il est commandant du camp de 1941 à 1942.



PAECHTER
Lieutenant-colonel commandant la Feldkommandantur
par Jean-Yves Bonnard

Chef de la Feldkommandantur 638 à Beauvais de juin 1942 à mars 1943.

PARISIUS
Colonel
par Jean-Yves Bonnard

Colonel dans l'armée allemande, il est chef de la place de Compiègne de 1943 à 1944.


PELZER Kurt
Colonel
par Jean-Yves  Bonnard

Colonel dans l'armée allemande, il est nommé chef de la place de Compiègne de 1941 à 1942.

PETRI Gustav

Colonel commandant la Feldkommandantur

par Jean-Yves Bonnard


Né le 3 juin 1888 à Giessen, fils d'un marchand de tabac en gros, il suit des études dans le commerce et devient directeur d’une société. En 1910, il se porte volontaire dans le régiment d’Infanterie Kaiser Wilhelm, à Giessen, puis reprend l’affaire de son père.

Mobilisé en 1914, il est blessé au visage le 22 août 1914. Promu lieutenant en octobre suivant, il combat sur le front de l’Est à partir de février 1915. Blessé au bras puis de nouveau à la tête en Roumanie, il est commandant de bataillon et revient se battre sur le front occidental en 1918. Plusieurs fois médaillé notamment de la Croix de guerre (2e classe puis 1ère classe), il reprend son activité dans le civil mais garde un pied dans le milieu militaire. Il est admis dans la SA comme Obersturmbannführer en 1934, la quitte en 1936 lorsqu’elle se rapproche du parti nazi et rejoint la Wehrmacht.

Mobilisé dans la réserve en 1939, il sert dans la 246e Division d’Infanterie et est promu major en octobre 1939. Il y commande un bataillon dans le sud-ouest de la France puis est versé dans l’armée d’active avec son unité et transféré sur le front de l’Est, devant Moscou (décembre 1941). Relevé de ses fonctions de commandant de bataillon pour être versé à l’Etat-major en février 1942, il est promu lieutenant-colonel en mars suivant. Grièvement blessé le 16 avril, il est soigné en Allemagne jusqu’en juin. De retour sur le front de l’Est, il est muté en France en septembre 1942 et suit une formation de commandant de campagne.

Devenu chef de la Feldkommandantur 638 à Beauvais en mars 1943, promu colonel le 1er juillet 1944, il doit se retirer avec son unité peu avant l’entrée des Alliés dans Beauvais (28 aout) en couverture des armées combattante en retraite. Après être passé dans le Bas-Rhin par la Belgique et le Luxembourg, il passe sous le commandement de la 11ème Armée nouvellement formée et atteint Wernigerode (Saxe) le 8 avril 1945. Il y est nommé commandant de place le 10 avril et reçoit dans la nuit l’ordre de défendre la ville face à l’avancée américaine. Il refuse d’obéir. La ville est prise sans combat le 11 avril 1945. Arrêté, Gustav Petri est passé par les armes le jour-même par des officiers de la 11e Armée près d’Elbingerode. La ville de Werningronde le considère comme son « sauveur ».

Plusieurs ouvrages lui sont consacrés.


POSSEKEL
Lieutenant-colonel
par Jean-Yves Bonnard

Lieutenant-colonel dans l'armée allemande, il est le commandant du camp de Royallieu en 1944.

PRUSSMANN
Sous-officier
par Jean-Yves Bonnard

Sous-officier dans l'armée allemande affecté au camp de Royallieu, il est considéré comme un geôlier humain en rendant des services aux détenus notamment en passant des lettres clandestines.

Sources:
Poirmeur André, Compiègne 1939-1945, Telliez 1968.

ROLLIN Wilhelm
Capitaine du Camp de Royallieu
par Jean-Yves Bonnard

Commandant du camp de 1942 à 1943, il est poursuivi par le tribunal de Metz en février 1950

SCHMITZ Joseph ou Wilhelm
Sous-lieutenant de feldgendarmerie
par Jean-Yves Bonnard

Né en 1902, sous-lieutenant de la feldgendarmerie de Compiègne surnommé "le Grand Rouquin", il arrête en mars 1942 le Bataillon de France,  ainsi qu'André Baduel le 12 juillet 1943 et le passe à tabac. Entre 1942 et 1944, il procède à 23 arrestations dans la seule rue Saint-Germain de Compiègne. Il mène en juin 1944 l'attaque du maquis de Crisolles avec 150 gendarmes et SS allemands et fait procéder à l'incendie de la Maison du garde-chasse Devulder et aux rafles de Salency et de Caisnes. Réputé pour sa violence notamment vis-à-vis des déportés quittant en colonnes le camp de Royallieu pour la gare de Compiègne, il frappait les détenus à coups de bottes sans raison.Il est condamné à la peine de mort par le tribunal militaire de Metz en 1950.

SCHILLING Franz
Soldat du Camp de Royallieu
par Jean-Yves Bonnard

Il est poursuivi par le tribunal de Metz en février 1950.

SCHROEDER Heinrich / Andreas

Garde du Camp de Royallieu

par Jean-Yves Bonnard


Il est poursuivi par le tribunal de Metz en février 1950.




VON ALBERTI Konrad

Colonel commandant la Feldkommandatur

par Jean-Yves Bonnard


Né le 17 juillet 1894 à Stuttgart, ancien combattant de la Grande Guerre dans le 119e Régiment de Grenadier du Royal Württemberg, il enseigne à l’académie militaire en 1937. Devenu lieutenant-colonel, il commande le 2e bataillon du 50e Régiment d’Infanterie  (1937-1939) puis le 284e Régiment d’Infanterie (1939). Promu colonel, il prend part à la Campagne de France et est nommé chef de la Feldkommandantur 638 à Beauvais, du 10 juin 1940 à février 1941.

Mis à la disposition de la 1ère Armée Panzer, il est d’abord affecté au Quartier général du groupe d’armées de la zone arrière Sud puis commande le 179e Régiment d’Infanterie à partir du 20 juin 1942. Blessé le 7 janvier 1943, hospitalité jusqu’au 22 janvier 1943, il est mis à la disposition du groupe d’Armées du Centre, il est promu général par intérim et commande la 246e Division d’Infanterie à partir du 16 mai 1943 avant de prendre sa retraite le 12 septembre suivant. Placé en réserve, il est en charge de la formation des officiers du district militaire  de Stuttgart puis de celui de Nuremberg avant de prendre le commandement de la liaison 182 en République Sociale Italienne (juillet-septembre 1944). Il prend ensuite le commandement de la zone de combat XX (novembre 1944-mars 1945 puis « groupe Alberti », il est fait prisonnier de guerre le 5 mai 1945. Libéré le 26 juin 1947, il se retire à Stuttgart où il décède le 1er janvier 1967. Il est co-auteur de livres militaires.


VON GEMMINGEN

Colonel

par Jean-Yves Bonnard


Colonel dans l'armée allemande, ancien officier du kaiser et préfet de Metz en 1918, il est noté par André Poirmeur comme châtelain des bords du lac de Constance. Il commande le Heilag (Heimkehrlager) de Compiègne de sa création à sa rattachement au camp de Royallieu en 1944.


VON UWALD
Colonel
par Jean-Yves Bonnard

Colonel de l'armée allemande, il est le chef de la place de Compiègne en 1944.

WECKERLE Wilhelm
Soldat du Camp de Royallieu
par Jean-Yves Bonnard

Il est poursuivi par le tribunal de Metz en février 1950 pour avoir porté des coups à des internés.

WEGENER
Capitaine
par Jean-Yves Bonnard

Capitaine dans l'armée allemande, il commande le camp de Royallieu de 1942 à 1943.
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